dimanche 10 janvier 2010

Répit au coin du feu

Un instant si tranquile qu'on en oublie Londres, la finance, le froid, les soucis, la solitude, les avions qui décollent et atterrissent, les pistes gelées et les trottoirs verglacés, toute la folie du monde ... Parfums archaïques et images primitives du feu estompent les soucis, brouillent les incertitudes. On s'abandonne heureux et chanceux à la chaleur de l'instant, au confort du présent.